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hip hop, lock et pop. la soif de danser la conduite à cecef (le frère de salas du crew legion x) dont elle suit les cours de hip-hop durant 3 ans. ce n’est qu’à l’issue de cette formation qu’elle éprouve un vif intérêt pour la house aux côtés de naïm. en 2011, elle débute les compétitions hip-hop puis house dance en région parisienne. elle remporte le battle international sdk ainsi que bon nombre de compétitions qui lui permettent de développer son talent et de se faire connaitre. la house dance et le waacking deviennent sa marque de fabrique. fermer johanna faye & darwin du milieu underground aux scènes de théâtre prestigieuses, johanna faye a collaboré avec différents chorégraphes tels que sébastien ramirez , amala dianor , jérémie bélingard, tishou aminata kane et sylvain groud . mustapha saïd lehlouh aka darwin (bad trip crew) a quant à lui participé à plusieurs projets avec mickaël le mer, storm, norma claire , constanza macras et sébastien ramirez. tous deux issus du b-boying, ils ont ainsi développé, au fur et à mesure des années, un style de danse personnelle et originale : johanna par la multiplicité puisée dans les différentes danses qui font sa gestuelle, darwin par son indéniable musicalité. fermer romuald brizolier c’est aux côtés de farid berki que romss fait ses premiers pas dans le monde de la danse professionnel et apprend à ouvrir ses horizons, expérimenter et nourrir incessamment son hip-hop. a partir de 2005, il part à paris et multiplie les rencontres constitutives tout en gardant un pied dans le battle. c’est ainsi qu’il collabore avec franck ii louise, qu’il intègre la compagnie de la danseuse étoile marie-claude pietragalla ou encore qu’il est contacté par franco dragone . fort de cet élan, il s’accomplit au sein du r.a.f crew qui réunit personnalités et approches complémentaires de la danse. pas à pas, leur travail et leur synergie les sacrent champion du monde de danse hip hop à las vegas en 2009. collectionneur d’expériences hybrides, romuald brizolier, travaille et chorégraphie simultanément pour le théâtre, le cinéma et le documentaire, ou encore des projets mêlant univers traditionnels et contemporains. egalement créateur de passerelles, il imagine en 2011, le hip hop games concept qui se veut l’évènement trait d’union entre le battle et la création chorégraphique à destination des jeunes danseurs. fermer hugues lumengo aka yugson en 1987 yugson arrive à paris en provenance de belgique. il fréquente les clubs hip-hop, endroits incontournables où faire ses preuves pour être reconnu au sein de cette communauté artistique. à l’époque, être autodidacte s’imposait comme une évidence, puisque la politique était de pas de prendre de cours. en 1993, il fonde le wanted posse . huit ans plus tard, ils deviennent les premiers français champions du monde de hip-hop au battle of the year en allemagne. dans son style, il n’y a rien de commercial. c’est l’authenticité du hip-hop underground qui ressort dans ce mélange de breakdance, de pop et de newjack swing, aux tonalités « deep ». intérieur, graphique au niveau de la gestuelle et des lignes. musicalement pointu et subtil. basé sur le contrôle du corps et la gestion de l’espace… car il est difficile de faire swinguer la technique. dans les emboîtements, les mouvements sont toniques, propres, et les formations complexes. next level (2000) est le premier groupe qui l’a plongé dans le bain de la chorégraphie. puis avec badmoov (2003), la première création de son groupe d’origine wanted posse, il s’est affirmé en tant que chorégraphe. il travaillait principalement sur la partie hip-hop newstyle des chorégraphies. la maturité, il l’acquiert avec transe (2006) : expression du visage, énergie, présence, émotions… racine (2009) et revolution (2011) sont les suites logiques du travail artistique des wanted. aujourd’hui, sa volonté est de montrer dans un tout autre cadre, de se livrer dans un autre contexte que celui qui l’a fait connaître. fermer jean pierre douterluigne jean pierre douterluigne découvre la danse hip hop en 1982. il décide très vite de développer cet art, né dans la rue, tout en se confrontant à d’autres langages chorégraphiques. il se perfectionne à londres, new york et paris. en 1988, il suit la formation du diplôme d’état en danse jazz et enrichit son vocabulaire avec d’autres techniques de danses (modern jazz, classique, contemporain). la rencontre en 1996 avec leela petronio , danseuse internationale de rhythm tap (claquettes américaines) sera déterminante dans son parcours, ils développent ensemble le body music (percussion corporelle) et le hip tap (métissage de claquettes et de hip-hop). ils se produisent au festival de suresnes cités danses en 1999, avec sarah petronio et jimmy slide , dans les soirées du new morning, au studio de l’hermitage à paris, à stuttgart, düsseldorf, florence, bruxelles… ils se retrouvent avec le hip tap project sur les créations tapage nocturne, répercussion et entre deux chaises. jean-pierre chorégraphie plusieurs spectacles en 1997 avec sa cie funk attitude. c’est à marseille, où il séjourne durant cinq ans, qu’il enseigne le hip hop et les claquettes au centre chorégraphique semenova et aux conservatoires d’avignon, martigues, gap et digne-les-bains. il crée la cie akrorythmik et s’entoure de dj kep dany (iam, massilia) pour composer la musique et les vidéos de ses spectacles. en 2008, jean pierre met en scène, chorégraphie et interprète, avec farid berki le spectacle impasse de l’or sur le thème des dérives de la consommation, en co-production avec culture commune et le parc de la villette. fermer s'abonner à la newsletter recevez toute l’actualité du flow en vous inscrivant à notre newsletter ! fermer
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